En prélude aux prochaines élections de notre pays, prévues le 18 octobre 2020 et qui va confronte douze candidats en lice avec certains de de débordements en cette période de pandémie comme c’est le cas en Guinée, la rédaction de radio-Kankan se fait le devoir de faire un bref rappel de l’exposé de Paul Breton et de Réal Bernabe, largement inspiré d’un texte de l’ombudsman de Radio Canada. C’était en septembre 2007 au cours d’un atelier de formation des hommes de médias guinéens.
A l’occasion, les deux formateurs ont instruit les participants que “les enjeux d’une campagne électorale ne concernent pas que les politiciens. Ils touchent tous les aspects de la vue de la société. Ils sont d’abord un exercice plus ou moins réussi de la vue démocratique. Ils touchent donc là population en général, qui en recevra les retombées positives ou négatives. Ils touchent bien sûr les candidats, dont la carrière et la réputation est en jeu.
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Mais ils sont aussi un test majeur pour la pressé en général et pour les journalistes en particulier. C’est la crédibilité de là presse qui est en cause. Elle jouera ou pas son rôle d’information et de débat d’idées ou bien elle sera un véhicule de propagande au service d’intérêts particuliers.
Elle éclairera sur les enjeux et les candidats ou bien elle sera un haut-parleur pour ceux qui feront le plus de bruit ou qui seront les plus puissants. Les journalistes engagent dans cette couverture leur crédibilité , et donc la confiance et le respect qu’ils gagneront ou perdront auprès des citoyens”, ont-ils clamé haut et fort Voilà chers confrères, a nous donc de jouer pleinement notre rôle
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